Vivre l’expérience de la recherche encourage une prise de parole, plus sûre, construite, affirmée, validée. Une recherche, a fortiori en travail social ou plus
Mais ce n’est pas si simple : que faisons-nous, sur le terrain, de la méthodologie éclairante, des résultats, des préconisations, de la production de connaissances ? Sommes-nous en surplomb des non diplômés ? Y a-t-il des initiés et des profanes ? Sommes-nous tentés de nous lustrer le poil de la validation scientifique, proférer des sentences, faire des cours magistraux, publier, bien contents et tourner les talons ?? D’un autre côté, nous laisse-t-on la parole, quels empêcheurs de ronronner sommes-nous devenus ? Prendre la parole, savoir rédiger un projet, argumenter contre les idées reçues, s’appuyer sur un auteur : est-ce permis ? Hiérarchies, pouvoirs publics, collègues endormis, veulent-ils de cette secousse qu’est la recherche ? ……..
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